Red Rock Mining offre une opportunité unique d’investissement dans un secteur clé de la transition énergétique mondiale. La demande en cuivre, un métal critique pour les énergies renouvelables et les technologies vertes, connaît une croissance structurelle, soutenue par des dynamiques économiques et industrielles claires.
Les grandes puissances (États-Unis, Europe, Chine) cherchent un « soft landing », soutenant la consommation de matières premières.
La reprise industrielle en Chine et les objectifs de la COP28/COP29 (triplement des capacités renouvelables, sortie progressive des fossiles) renforcent la demande en métaux stratégiques comme le cuivre.
L’offre mondiale de cuivre reste contrainte :
Raréfaction des nouvelles exploitations,
Déficit structurel d’approvisionnement,
Hauts fourneaux déjà sous-alimentés en concentré de cuivre.
Résultat : un déséquilibre offre/demande croissant.
Le prix du cuivre, stabilisé autour de 8 500 $/t en 2023, est projeté à 10 000 $/t en 2025 et 15 000 $/t d’ici 2026–2027(Goldman Sachs).
Une tendance haussière durable, portée par l’insuffisance de l’offre face à une demande mondiale en forte croissance.
Le cuivre, grâce à ses propriétés uniques (conductivité, résistance), est devenu incontournable dans nos sociétés modernes.
Matériau critique, il est indispensable aux énergies renouvelables et aux technologies vertes.
Les technologies bas carbone – énergie et transports – nécessitent plus de cuivre que les énergies traditionnelles.
Le cuivre peut être recyclé à l’infini sans perte de performance.
Il améliore l’efficacité des énergies renouvelables tout en limitant l’impact environnemental.
La consommation mondiale progresse chaque année, portée par la transition énergétique et les nouvelles technologies.
SM le Roi Mohamed VI adresse un discours au Parlement :
« Notre souhait est que la nouvelle Charte nationale de l’investissement donne une impulsion tangible à l’attractivité du Maroc pour les investissements privés, tant nationaux qu’étrangers »
Peu de nouvelles exploitations minières de cuivre voient le jour à cause des coûts croissants d’exploration et des contraintes environnementales toujours plus sévères.
Le sol marocain regorge de ressources cuprifères encore faiblement explorées et exploitées.
Le Maroc a mis en place une stratégie ambitieuse pour développer son secteur minier, s’appuyant sur un cadre législatif moderne, une gouvernance responsable, et des incitations financières pour attirer les investisseurs. Avec le Plan Maroc Mines 2021-2030, le pays vise à renforcer l’industrialisation durable et l’impact social du secteur, tout en assurant une intégration économique locale et régionale.
Situé aux portes de l’Europe et disposant d’infrastructures de transport bien développées, le Maroc est idéalement placé pour exporter le cuivre vers les marchés internationaux. Cette proximité géographique réduit les coûts logistiques et augmente la compétitivité du cuivre marocain à l’échelle mondiale.
Le prix du cuivre évolue sous l’influence de plusieurs éléments structurants :
L’équilibre entre l’offre et la demande est un facteur clé dans la détermination du prix du cuivre. La demande de cuivre augmente en permanence compte tenu des besoins évoqués précédemment avec une offre qui ne parvient pas à augmenter suffisamment.
Les matières premières prennent une part grandissante dans les allocations d’actifs. Le cuivre est coté au LME (London Metal Exchange), sous forme de contrat à terme, avec une livraison de métal physique à l’échéance de celui-ci. La conjugaison de ces 2 éléments vient exacerber la demande pour le cuivre et sa valorisation.
Les coûts de production, tels que les coûts d’extraction, de raffinage et de transport du cuivre, ont un impact sur le prix final. Comme ces coûts augmentent, cela se répercute sur le prix du cuivre.
Les niveaux des stocks et de réserves de cuivre peuvent également influencer le prix. Les stocks sont au plus bas depuis 14 ans et en provenance de pays politiquement instables. Compte tenu de tous ces éléments, la surprime sur le cuivre ne devrait que se prolonger à l’avenir.